Études de cas : Spécialiste dans le séchage de bois résineux
Amélioration significative de la production
-80%
Réduction du taux de purge
Élimination du problème d'emportement
-1 000 000
BTU/jour
en économie d'énergie
Amélioration globale
du procédé
Mise en situation
L’opération d’une chaudière à vapeur dans l’industrie du séchage du bois pose plusieurs défis. Les demandes de vapeur subites et soutenues favorisent l’entraînement d’eau, ce qui réduit considérablement la performance du séchage à cause de la perte de contenu énergétique de la vapeur. En plus de provoquer la chute de rendement du procédé, le phénomène d’entraînement implique aussi une opération erratique de la chaudière à cause des fluctuations du niveau d’eau, sans compter les problèmes de ‘’lessivage’’ de la tuyauterie, la perte d’eau chaude et un contrôle difficile du programme de traitement.
À cette usine de séchage, il y avait peu d’alternatives autres que celle d’abaisser la conductivité de l’eau de la chaudière pour réduire autant que possible les phénomènes d’entraînement d’eau. Cette mesure, déjà très peu efficace, impliquait donc l’augmentation du taux de purge et par conséquent, une perte coûteuse en énergie et en eau traitée.
« Nous atteignons des niveaux de production
jamais atteints par le passé. »
Objectifs
Solution
La conductivité maintenue dans l’eau de la chaudière est reliée au cycle de concentration atteint avant d’effectuer les purges de déconcentration. Ces purges ont pour objectif d’éliminer les solides dissous accumulés dans l’eau, qui ont pour effet de favoriser l’entraînement d’eau dans la vapeur. Ces solides proviennent de l’eau d’appoint, mais également des produits de traitement ajoutés pour protéger l’équipement contre la corrosion et l’entartrage. Ces produits sont habituellement de nature minérale et contribuent directement à la conductivité de l’eau.
Le programme Aquafilm a donc été mis en application en remplacement du traitement conventionnel, avec pour objectif de contrôler les problèmes d’entraînement d’eau, tout en réduisant au minimum le taux de purge. Cette recommandation est basée sur la faible contribution du programme Aquafilm à la conductivité de l’eau de la chaudière puisque le traitement repose sur l’utilisation d’ingrédients volatiles organiques.
Film protecteur de l’Aquafilm V sur le métal
Résultats
Pendant la période évaluée avec le traitement conventionnel (phase 1), l’entraînement d’eau était excessivement élevé avec des pointes de plus de 3000 μmhos/cm au condensat. Même en augmentant considérablement le taux de purge (phase 2), démontré par la chute de la concentration en chlorures dans l’eau de la chaudière, on pouvait constater des dérives épisodiques de la conductivité dans le condensat. À partir du moment où le programme Aquafilm a été mis en œuvre (phase 3), la conductivité du condensat a chuté pour s’établir à une moyenne stable de 9 μmhos/cm. L’augmentation graduelle du cycle de concentration par la suite, n’a eu aucun impact sur la qualité de la vapeur.
-
Conclusion
L’application de la technologie Aquafilm V a permis de résoudre le problème récurrent d’entraînement d’eau dans la vapeur, synonyme de perte de rendement du procédé de séchage. L’utilisation d’ingrédients organiques volatiles montre clairement son avantage par rapport à une technologie conventionnelle. Il en résulte une opération plus efficace, une réduction des purges, une économie d’énergie et une grande stabilité du programme de traitement.
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